VENOM: LET THERE BE CARNAGE
Que dire d’un produit aussi bassement mercantile que VENOM – LET THERE BE CARNAGE, digne suite du chef d’œuvre total et absolu signé Ruben Fleischer en 2018 ? Et bien que ce nouveau film réalisé par Andy Serkis se situe d’une part dans la droite lignée de ce néo-classique du film comic-book d’un pur point de vue qualitatif. Et d’autre part que la somme des talents engagés dans ce projet (Tom Hardy, Woody Harrelson, Naomie Harris devant la caméra, Andy Serkis, le chef opérateur Robert Richardson et le compositeur Marco Beltrami en coulisses) ne sauve absolument pas cette suite du naufrage artistique absolu. Suivant votre appréciation générale du personnage créé par Todd McFarlane, il est donc possible que VENOM – LET THERE BE CARNAGE vous laisse de marbre, ou vous énerve au plus haut point. L’état de nos vaillants chroniqueurs se situe en tout cas entre ces deux ambiances, qu’il s’agisse de Clémence Gueidan, Julien Dupuy, Marie Casabonne ou encore Stéphane Moïssakis, qui sont globalement d’accord pour dire que cette suite est effectivement très mauvaise, mais pas assez mauvaise pour qu’on puisse en tirer une quelconque satisfaction nanardesque. Les temps sont durs pour les anti-supers héros !
Présentation : Clémence Gueidan
Rédacteur en chef : Stéphane Moïssakis
Chroniqueurs : Stéphane Moïssakis, Marie Casabonne et Julien Dupuy
Production : Clémence Gueidan et Alain Mercier
Habillage Sonore : Latex
Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l’opt-out.